Vinda Rosier (terminée)

La famille Rosier et l’une de ces familles de sang pur d’Europe et les parents de Vinda était de la branche de ceux qui vivaient en France. Les parents de Vinda ne s’aimaient pas plus que cela, ils faisaient partie du même monde, ils étaient de bons partis, donc ils se sont mariés et ils ont fondé une famille en aillant donc leur fille. Ils l’aimèrent, comme tous parents normalement constitués. L’enfance de Vinda fut plutôt normale donc, sans que la jeune fille n’ait réellement de raison de se plaindre.

Quand elle eut l’âge de rentrer à l’école, elle entra donc à Beauxbâtons. Elle n’eut encore une fois pas réellement à se plaindre pendant ses études, de même que ses parents n’avaient pas à se plaindre. Vinda avait de bonnes notes, ses parents n’avaient donc rien à redire à ce qu’elle leur offrait. Surtout qu’ils n’attendaient finalement qu’une chose de sa part, qu’elle devienne une parfaite épouse pour un parfait parti dans le futur, une fois qu’elle aurait terminé ses études. Des ambitions qui n’allaient pas à Vinda, mais elle ne réalisait pas à quel point elle allait avoir envie d’autre chose. Elle eut quelques relations dans son adolescence, sans pour autant chercher vraiment à en avoir. Elle se contentait simplement de se laisser porter par les événements. Les quelques amis qu’elle se faisait, elle ne les considérait pas réellement comme des amis, comme des personnes qu’elle aimait. Elle se faisait à l’idée qu’elle n’aimerait jamais personne, sans que cela ne soit un souci. Elle suivait la voie qu’on était en train de tracer devant elle, avant de décider tout autrement…

Comme beaucoup de sorcier de cette époque, Vinda entendit parler de Grindelwald, ce grand sorcier. Ce qu’il voulait, la fin du secret magique, la prise de pouvoir pour les sorciers, pour le plus grand bien, Vinda ne mit pas longtemps à penser comme cet homme, à se dire qu’elle voulait le suivre. Quand elle quitta l’école, elle eut l’occasion de rencontrer Grindelwald et tout de suite elle tomba sous son charme. Un charme global envers cet homme particulièrement charismatique et cette cause qu’il défendait et qu’elle avait envie de défendre tout autant que lui. Elle ne l’aimait pas concrètement, elle aimait simplement ses idéaux et elle avait envie de les épouser. Alors elle prit la décision de tout quitter pour le suivre, où qu’il aille. Elle coupa les ponts avec sa famille, à qui elle décida de ne plus donner de nouvelle. Elle prenait sa vie en main et elle décidait d’en faire ce qu’elle voulait maintenant.

Cela faisait donc des années maintenant que Vinda suivait Grindelwald partout où il se rendait, notamment aux États-Unis maintenant où il avait pris la place de Percival Graves. En tant que sa plus fidèle alliée, Vinda était dans la confidence et ne manquait pas d’agir dans l’ombre afin d’aider son maître. Pour beaucoup, Grindelwald a disparu, mais elle était bien placée pour savoir que ce n’était pas le cas. Et elle avait pour objectif de recruter de nouveaux fidèles, entre autre chose, entre autres missions plus précises, afin de permettre à son maître de voir son pouvoir grandir pleinement.

Il y a un mot qui peu vraiment décrire le caractère de Vinda : dévouement. Vinda est complètement dévouée à son maître et c’est très clairement ce qui la caractérise le plus. Elle croit dur comme fer aux idéaux de Grindelwald, elle pense que le secret magique ne devrait pas exister et que les sorciers devraient simplement prendre la place qui leur était due.

Elle est donc déterminée, en plus d’être entièrement dévoué à l’homme qu’elle sert et elle est prête à tout faire pour le satisfaire et l’aider dans sa cause. C’est pour cette raison que Grindelwald lui fait confiance, il avait parfaitement raison de lui faire confiance puisqu’elle était prête à mourir pour elle. Sa vie tourne entièrement autour du combat de son maître, sans que cela ne lui pause souci. Elle n’a aucune autre attache et ne cherche pas spécialement à s’en faire.

Elle n’est pas le genre de femme à chercher à avoir des relations, que ça soit avec des hommes ou des femmes, elle ne cherche pas à avoir des amis. Elle se contente de son maître et de… ce que cet homme lui demandait. Autant dire que si elle devait se rapprocher de quelqu’un pour la cause de son maître, elle le faisait et elle le faisait bien. Parce qu’elle ne manquait pas d’être une bonne comédienne. Elle n’a aucun scrupule, elle n’a pas pour habitude de regretter quoi que ce soit. Elle se dirigeait pleinement vers le futur, aillant définitivement tourner la page sur sa vie d’avant.