Entretien privé avec Mme la Présidente [feat: Seraphina]

Messages : 402 Date d'inscription : 25/12/2017 Age du joueur : 38

Elsa se tenait droite, assise sur sa chaise, en attendant de passer dans le bureau de la présidente au MACUSA. Elle n'était guère à l'aise de se trouver là, ce n'était pas assez fort, elle avait peur de ce qui allait se passer. Elle ne savait pas quel genre de lois, elle avait pu enfreindre. Elle avait révélée le secret de la magie à un moldu, bon même si ce moldu enquêtait sur les sorciers depuis plusieurs semaines. Elle avait conspiré avec des moldus pour démasquer des sorciers. Et puis si on ajoute qu'elle avait enquêter sur les Obscurials, et c'était trouvé là au mauvais endroit au mauvais moment. Tout cumulé, cela devait li donner une peine bien lourde, elle en était sûre. Et ce n'était pas ses parents qui pourraient l'aider dans de telles circonstances, puisqu'ils étaient des moldus, ou des no-mags. Elsa fixait la porte, craignant de la voir s'ouvrir et d'être convoqué dans le bureau. Elle se revoyait la fois, où elle et un de ses amis avaient été convoqué dans le bureau du directeur de Poudlard, à cause d'une potion qui avait été fabriqué en toute discrétion. (enfin presque, vu les dégâts qu'elle avait causé dans l'ancienne salle d'étude). Enfin ce jour-là non plus, elle n'en avait pas mené large, mais là c'était bien pire, car elle ne risquait pas des heures de retenues ou des lignes à copier.

Soudain la porte s'ouvrit, et Elsa sursauta, elle avait bien envie de s'en aller, et de ne pas entrer dans ce bureau, elle était bien là assise sur sa chaise. Mais cela ne ferait que compliquée les choses, et on finirait par la prendre pour une coupable, ou pire encore une adepte de Grindelwald tant qu'on y est. La jeune femme prit une grande inspiration, se leva de sa chaise, raide comme un bâton et avança vers le bureau comme on venait de l'inviter à le faire.
"Bonjour, Mme la Présidente" fit Elsa en avançant un peu plus dans le bureau. Elle resta figée face à elle, vraiment pas dans son élément, pourtant elle n'avait généralement pas peur de rencontrer des gens, de poser des questions, un tas de questions. Mais elle risquait sa liberté, et puis elle n'avait que dix-neuf ans, elle n'était encore qu'une enfant, un peu trop curieuse sans aucun doute.

Messages : 245 Date d'inscription : 12/09/2018 Age du joueur : 26

Entretien privé avec Mme la Présidente

But I must explain to you how all this mistaken idea of denouncing pleasure and praising pain was born and I will give you a complete account of the system, and expound the actual teachings of the great explorer of the truth, the master-builder of human happiness. No one rejects, dislikes, or avoids pleasure itself, because it is pleasure, but because those who do not know how to pursue pleasure rationally encounter consequences that are extremely painful.

MSeraphina était complètement déboussolée. Graves était Grindelwald… Ou plutôt, Grindelwald s’était fait passer pour Percival Graves. Cet homme existait bel et bien, mais aujourd’hui… il devait être mort, et cette pensée attristait vraiment la présidente, qui avait vu en lui un ami en plus d’un bras droit. Mais qui sait depuis combien de temps elle se faisait roulée par le mage noir… La seule bonne nouvelle, c’était que l’obscurial avait été détruit. Elle était triste pour cet enfant également, mais c’était nécessaire. Il était devenu incontrôlable. On lui avait rapporter qu’il s’agissait de Credence Barebone, qui n’était plus un enfant au final… ce qui rendait les choses encore plus étranges qu’elles ne l’étaient déjà à la base. Quoiqu’il en soit, l’affaire n’était en aucun cas close. Il fallait retrouver Grindelwald, c’était la priorité numéro un. D’autant plus que si Tina et Newt avaient été lavés de tous soupçons concernant le meurtre de Shaw, Seraphina n’était pas certain que le jeune homme n’ait rien à voir avec Grindelwald, aux vues de son comportement lors de la soirée du nouvel an. Il était en surveillance, tout comme Albus Dumbledore, qu’Aberforth était venu lui dénoncer comme détenteur de l’identité de Grindelwald. Seraphina comptait bien entendu, interroger elle-même les deux hommes, et ne montrer aucune compassion. On l’avait prise pour une idiote, elle ne comptait faire de cadeaux à personne. Et il y avait une troisième personne qui n’était pas toute blanche, Elsa Moore.

Elle était arrivée comme une fleur au moment de l’attaque en parlant de Grindelwald comme si elle savait depuis longtemps son identité. Seraphina avait eu des informations sur elle. Proche des Fidèles de Salem, elle avait contribué à leur inflation. Et on lui avait rapporté également qu’elle avait révélé à Langdon Shaw qu’elle était une sorcière. Tout portait à croire qu’elle voulait la mise à mal des sorciers. Peu importe son âge, Seraphina comptait bien sévir, et si elle devait l’enfermer, elle le ferait, avant de la rendre aux Aurors Anglais.

"Bonjour, Mme la Présidente"

Seraphina la dévisagea, sans sourire, sans amabilité dans le regard. Mais avec sévérité. Elle n’était pas là pour paraître agréable mais pour connaître la vérité, avoir des réponses et punir les coupables. Et elle ne comptait pas être aimable avec cette jeune femme. Et cette dernière avait grand intérêt à se montrer coopérative.

« Asseyez-vous, cela risque d’être long. Vous êtes en très mauvaise posture Miss. Mais commençons par Grindelwald. Vous sembliez au courant de son identité. Est-ce exact ? »

black pumpkin

Messages : 402 Date d'inscription : 25/12/2017 Age du joueur : 38

Elsa s'avança vers le siège en face du bureau de la Présidente du MACUSA, elle aurait bien aimé ne pas être toute seule face à elle, mais elle n'avait personne d'assez proches pour l'aider. Et malheureusement ce n'était pas ses parents moldus qui pourraient l'aider dans cette histoire. Ils ne sauraient pas de quoi parle cette femme, et pire encore ils pourraient n'être que plus inquiets encore. Elle se tenait comme un robot, et se crispa face à cette femme. Elle ne savait pas trés bien quoi lui dire, mais la vérité était sans doute la meilleure option, d'autant qu'elle n'avait pas grand chose à cacher dans cette histoire. Même si au cours de son enquête, elle avait sans doute frôlait la ligne plus d'une fois, elle n'avait rien fait de vraiment mal, n'est-ce-pas.

Les mots prononcés par la présidente ne l'encourageait guère à se confier, et effectivement, elle était en trés mauvaise posture. Elle lui demanda si elle était au courant de l'identité caché de Grindelwald, ça au moins c'était facile à répondre.
"Non, je ne savais pas... En revanche dans ma conviction, j'étais certain qu'il y avait un mage noir dans cette histoire, mais j'étais loin d'imaginer que Grindelwald se cachait sous Graves." fit Elsa, d'ailleurs, elle n'avait jamais rencontré l'auror, cela aurait pu quand elle est venue au MACUSA pour avoir des informations sur la famille Barebone, ou bien quand elle se trouvait à la ligue des fidèles de Salem, bien qu'elle ne savait pas à quel point, Grindelwald avait tourné autour de Crédence. Elle ne les avait jamais vu ensemble. D'ailleurs, elle n'avait su que Crédence était l'Obscurus, que trés trés récemment. Elsa avait beaucoup de questions à poser, mais elle se doutait que ce n'était surement pas le bon moment pour le faire.

Messages : 245 Date d'inscription : 12/09/2018 Age du joueur : 26

Entretien privé avec Mme la Présidente

But I must explain to you how all this mistaken idea of denouncing pleasure and praising pain was born and I will give you a complete account of the system, and expound the actual teachings of the great explorer of the truth, the master-builder of human happiness. No one rejects, dislikes, or avoids pleasure itself, because it is pleasure, but because those who do not know how to pursue pleasure rationally encounter consequences that are extremely painful.

Bon, cette jeune femme était en mauvaise posture. Ce n’était peut-être pas la peine de le préciser. Mais quoiqu’il en soit, la présidente comptait bien se montrer totalement intransigeante là-dessus. Elle avait de nombreuses raisons d’être ici, et de nombreux risques de se retrouver enfermée. Seraphina ne ferait pas dans le sentimentalisme. Surtout qu’elle ne la connaissait pas. Mais même si elle semblait jeune et innocente, Seraphina se méfierait maintenant deux fois plus des apparences. Parce que c’était à cause d’apparence qu’elle s’était laissée bernée par le mage noir Gellert Grindelwald, et elle ne laisserait jamais plus une telle chose se produire. Alors cette jeune femme allait devoir se montrer convaincante, et surtout très honnête avec elle, puisque la présidente était dans une très mauvaise humeur en ce moment.

Elle ne comptait pas l’enfermer sans preuve, ou sans conviction concernant Elsa. Elle ne voulait plus commettre les mêmes erreurs, mais elle ne comptait pas non plus se montrer trop laxiste. Le pays avait grand besoin d’être débarrassé des gêneurs, des éléments négatifs, et elle semblait en être.

"Non, je ne savais pas... En revanche dans ma conviction, j'étais certain qu'il y avait un mage noir dans cette histoire, mais j'étais loin d'imaginer que Grindelwald se cachait sous Graves."

Elle la prenait pour une idiote. Elle se souvenait parfaitement de ses mots le soir du nouvel-an. ‘C’est encore un coup de Grindelwald ? » elle se fichait ouvertement d’elle, et cela ne passerait pas. Elle devrait se méfier, Seraphina ne plaisantait pas du tout. Elle se contenta de la fixer d’un regard froid pour le moment. Elle allait la cuisiner comme il se le devait, tant pis si elle devait employer des méthodes plus sévères, il fallait agir tout de suite, dès maintenant, ils n’avaient que trop trainés.

« Ah non ? Vous étiez pourtant sûre de vous le soir du nouvel an. Vous avez parlé de Grindelwald de vous-même. Et je n’apprécie pas que l’on se moque de moi, une chose que vous avez sans doute appris de lui. Vous avez de lourdes charges qui pèsent sur vous Miss, et je ne suis pas là pour m’amuser. Qu’êtes vous venue faire à New York exactement ? »

black pumpkin

Messages : 402 Date d'inscription : 25/12/2017 Age du joueur : 38

Elsa était entrain de se dire que les choses prenaient une mauvaise tournure, elle n'avait aucun moyen de justifier qu'elle n'était pas du côté de Grindelwald, et il semblerait que sa parole ne suffise pas pour convaincre la Présidente du MACUSA. En commençant à fréquenter les fidèles de la Ligue de Salem, Elsa s'était plus ou moins attendu à quelque chose dans ce gout-là, mais pas vraiment en rapport avec Grindelwald. Elle n'était clairement pas des siens. Elle soupira, et cherchait ses mots pour expliquer la situation à cette femme, qui avait le pouvoir de la faire enfermer, si elle le voulait. Et ce n'était pas ses parents qui pourraient l'aider malheureusement. C'était de braves gens, et elle était sûre qu'ils traversèrent terre et mer pour l'aider, mais c'était des moldus, et il semblerait que ce soit un problème dans ce pays.

Elsa ne savait toujours pas quoi dire, mais elle devait bien expliquer les choses pour éviter la prison, voire pire.
"Je suis à New York pour un voyage, je fais le tour du monde." fit Elsa, elle avait vraiment d'en dire plus pour défendre son cas, mais bizarrement elle avait l’impression qu'elle ne s'exprimait pas comme il faut, où que la Présidente interprétait mal ses paroles.
"Je n'ai rien appris de Grindelwald, je suis née à Londres dans une famille moldue ... no-mag, tout ce qu'il y a de plus ordinaire, et j'ai fais mes études à Poudlard." fit Elsa, en espérant que cela ne serait pas encore mal compris par la Présidente. Cette histoire ne lui plaisait pas, mais elle aurait encore eu plus d'ennuis à ne pas venir. Elle devrait gagner des points pour être présente, et être obligé de se justifier, tout ça pour un mot mal placé, et être au mauvais endroit, au mauvais moment.

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Seraphina était bien consciente que les choses n’allaient pas, et elle en avait marre. Elle en avait assez que tout le monde la prenne pour une idiote et une incapable. Elle s’en voulait beaucoup de ne pas avoir eu ne serait-ce qu’une once de doute en ce qui concerne Graves. Elle ne connaissait bien, elle aurait dû voir qu’il y avait des incohérences, des choses louches, qu’il était différent. Mais elle n’avait rien vu, et elle en était vraiment très contrariée. Alors, elle ne comptait pas faire de cadeau à qui que ce soit. Elle ne voulait pas devenir une dictatrice, loin de là, mais elle allait sévir et mettre un sacré coup de pied dans la fourmilière. Les choses n’allaient pas se passer comme ça. Et tous ceux qui murmuraient qu’elle n’avait pas les épaules et qu’elle était dépassée, elle comptait bien leur donner tord. Seraphina allait tout faire pour arranger la situation, à commencer par démasquer tous les traitres et les fidèles de Grindelwald.

"Je suis à New York pour un voyage, je fais le tour du monde."

Et comme par hasard, elle arrivait à New York pile quand tout partait en vrille, et elle arrivait comme une fleur sur une zone de danger et de combat en mentionnant Grindelwald alors que personne n’en avait parlé de la soirée, et que le mage noir était toujours sous l’identité de Graves, la prenait-elle vraiment pour une idiote ?

"Je n'ai rien appris de Grindelwald, je suis née à Londres dans une famille moldue ... no-mag, tout ce qu'il y a de plus ordinaire, et j'ai fais mes études à Poudlard."

Seraphina ne savait pas si elle faisait exprès de répondre aux questions à moitié, mais elle avait beaucoup de mal à la croire, elle s’était mise dans cette situation toute seule, à fouiner, à affirmer des choses qui était de l’ordre de la sécurité nationale, alors qu’elle n’était même pas Auror.

« Vous voulez me faire croire que vous êtes en vacances ? Avec tous les troubles que connaît New York, si vous étiez en vacances, vous auriez dû partir. Si vous n’avez rien appris de lui, pourquoi avez-vous mentionner son nom en affirmant qu’il s’agissait de lui ? »

black pumpkin

Messages : 402 Date d'inscription : 25/12/2017 Age du joueur : 38

Elsa ne savait pas trés bien comment répondre à la Président, elle n'avait pas l'habitude d'être ainsi questionné, les rares fois où des questions avaient été posées, c'est elle qui le faisait, aprés tout elle était journaliste. Mais ce n'était peut-être pas une information à donner à la Présidente. Elsa était tellement nerveuse, qu'elle ne savait même plus ce qu'elle devait dire ou ne pas dire. Elle soupira, et tentait vainement de faire le point sur la situation. C'est vrai, pourquoi avait-elle pensé à Grindelwald? Est-ce à cause de sa conversation avec Théseus, ou bien celle qu'elle avait eu avec Aberforth? Devait-elle dévoiler leur noms et leur causer aussi des ennuis, bien que Aberforth avait été le premier à dire son nom, donc au fond, ce ne serait pas lui attiré plus d'ennuis.

"A vrai dire... J'ai rencontré Aberforth Dumbledore, il ressemble tellement à son frère, que de loin, j'ai cru que c'était mon ancien professeur... Enfin bref, nous avons un peu discuter de la situation, et ... je suis arrivée à la conclusion... qu'il y avait un mage noir. Grindelwald est le seul que je connais, c'est pourquoi j'ai pensé à lui." fit Elsa dans un discours un peu décousu. Toute cette histoire la dépassait complétement, elle ne s'était jamais retrouvé dans ce genre de situation. Ce n'est pas tous les jours qu'on rencontre un mage noir, et qu'on est convoqué dans le bureau d'un président. Qu'est-ce qu'on est censé dire dans des cas comme ça. Elle frotta ses mains contre ses jambes, et attendait patiemment les questions de la Président, même si elle avait la nette impression de répondre à côté, et d'aggraver encore plus son cas. Elle aurait vraiment dû demander à quelqu'un de venir avec elle. Peut-être Aberforth, ou son ancien professeur. ou n'importe qui d'autres d'ailleurs.

Messages : 245 Date d'inscription : 12/09/2018 Age du joueur : 26

Entretien privé avec Mme la Présidente

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Cette fille commençait à vraiment agacée Seraphina. Qui était déjà très touchée et bouleversée par les récents évènements. Que ce soit par la trahison de Grindelwad, la mort de tous les Aurors, la disparition de Graves… Seraphina se sentait tout de même perdue, même si elle n’en parlait et ne le montrait à personne, parce qu’elle devait restée forte. Mais quoiqu’il en soit, elle avait la désagréable impression qu’Elsa jouait avec ses nerfs. Qu’elle faisait semblant de ne pas comprendre les questions et de la faire passer pour une idiote. Comme si elle n’avait absolument rien à se reprocher, alors qu’elle avait enfreint plusieurs règles établies sur le MACUSA. Qu’elle soit anglaise ou non, les règles s’appliquaient à tous sorciers résidants sur le sol américain.

"A vrai dire... J'ai rencontré Aberforth Dumbledore, il ressemble tellement à son frère, que de loin, j'ai cru que c'était mon ancien professeur... Enfin bref, nous avons un peu discuter de la situation, et ... je suis arrivée à la conclusion... qu'il y avait un mage noir. Grindelwald est le seul que je connais, c'est pourquoi j'ai pensé à lui."

Mais elle n’avait pas à discuter de la situation avec qui que ce soit. C’était fatiguant et vexant que tout le monde cherche à mettre son nez dans les affaires du MACUSA alors qu’ils n’étaient pas concernés. Elle ne savait pas à ce qu’ils cherchaient à faire, tous ces britanniques. Mais si le gouvernement magique anglais cherchait l’incident diplomatique, ils étaient en très bonne voie. Seraphina n’allait plus supporter cela très longtemps. Elle exagérait sûrement les choses, mais elle avait des circonstances atténuantes. En tout cas, pour en revenir à Elsa, elle n’était sérieusement pas en train d’arranger les choses. Et Seraphina avait de plus en plus envie de la faire enfermer, ne serait-ce que temporairement.

« Vous en êtes arrivée à la conclusion qu’il y avait un mage noir. Mais toutes mes félicitations, vous méritez vraiment de devenir un personnage important de la politique magique. Votre justification ne tient pas debout. On n’accuse pas quelqu’un parce que c’est la seule personne que l’on connaisse correspondant aux critères donnés. Vous n’êtes pas en Angleterre ici. Les lois ne sont pas les mêmes, et vous ne cessez d’enfreindre les nôtres mademoiselle. Hormis Grindelwald, laissez-moi vous rappelez que tout contact entre sorciers et no-majs sont proscrites, ne serait-ce qu’une poignée de mains. »

black pumpkin

Messages : 402 Date d'inscription : 25/12/2017 Age du joueur : 38

Il était évident pour Elsa qu'elles n'arrivent pas à se comprendre. Il y avait un trop grand décalage entre leur mode de vie, si on suivait son résonnement, alors elle n'aurait même pas le droit de voir ses parents, si ils venaient sur le territoire américain, il y avait rien d'aussi absurde. Elle irait en prison pour avoir embrasser ses parents, c'est vraiment n'importe quoi comme raisonnement. Tu m'étonnes que la situation soit aussi... compliquée aux États Unis, si le MACUSA faisait des lois, et des règlements aussi absurdes que celui-ci. Il ne fallait pas s'étonner que des êtres comme les Obscurus existent, si il y avait des lois de ce genre-là. Parce que ça voulait dire que les enfants dans les familles de moldus, sont soient "oubliés" du reste des sorciers, ou alors ils n'ont plus le droit de voir leur parents. C'était d'un ridicule. Ou alors ils faisaient déjà entorses à leur propre règles. Donc comment pouvaient-ils exiger qu'on suive des régles, alors qu'ils en font entorse à la première occasion.

"C'est complétement ridicules... Je fais comment pour parler à mes parents dans ce cas? Et il faut comment les autres enfants nés-moldus... dans votre pays. Vous les abandonné, alors il faut pas s'étonner qu'il y est des Obscurus sur votre territoire. A moins que vous leur interdisait de revoir leur parents, une fois dans le monde magique. Vous ne voyez pas que vos lois sont complétement absurdes. " fit Elsa qui était passablement en colère qu'on puisse la ... condamner pour une loi complétement désuète. Elle avait peut-être servis à sauver des vies, lors de la chasse aux sorcières, et encore elle n'en était même pas sûre. Mais aujourd'hui, elle n'avait plus lieu d'être. Il fallait vraiment revoir le fondement de même de leur règle. D'autant plus qu'ils ne pouvaient pas non plus surveiller chaque sorcier, à chaque minute. Cela devait forcément arrivé que des sorciers et des moldus se parlent. Il ne mettait pas en prison tous les gens qui tombent amoureux, parce qu'il devait y en avoir des sangs-mêlés. La jeune femme était bien conscience qu'elle n'aurait sans doute pas dû lui parler de cette façon, mais c'était tellement ridicule cette situation. Elle était là parce qu'elle avait prononcé un seul nom, et qu'elle était au mauvais endroit, au mauvais moment. Ils avaient crée des lois, qu'ils étaient obligé d'enfreindre eux-mêmes pour vivre.

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Définitivement, Elsa Moore ne comprenait absolument rien. Cette fille faisait-elle exprès, ou alors était-elle incroyablement stupide ? Seraphina ne savait pas, mais elle n’était pas du tout d’humeur, et la jeune femme commençait très clairement à l’agacer. Elle désapprouvait totalement son comportement, et se demandait si c’était tous les anglais qui étaient ainsi. Mais rapidement, elle constata que non, il y en avait certains qu’elle avait appris à apprécier, donc c’était vraiment la journaliste en herbe qui faisait des siennes. Cela n’enlevait rien au fait que Seraphina commençait à s’impatienter. Pourtant, elle ne devait pas perdre son calme, elle le savait, mais c’était bien plus facile à dire qu’à faire. Avec la situation actuelle, la présidente était sur le qui-vive, elle manquait de sommeil, elle manquait de temps, et elle avait les nerfs à vif. Seraphina se montrerait toutefois juste, même si envoyer la jeune femme en prison lui donnerait une satisfaction brève, parce qu’elle avait besoin de coupables. Quoiqu’il en soit, elle resterait elle-même.

"C'est complétement ridicules... Je fais comment pour parler à mes parents dans ce cas? Et il faut comment les autres enfants nés-moldus... dans votre pays. Vous les abandonné, alors il faut pas s'étonner qu'il y est des Obscurus sur votre territoire. A moins que vous leur interdisait de revoir leur parents, une fois dans le monde magique. Vous ne voyez pas que vos lois sont complétement absurdes. "

Seraphina haussa un sourcil. La jeune femme était-elle vraiment sérieuse ? En ce cas, elle était bien plus stupide que la présidente le sentait. Elle ne comptait pas se montrer trop sévère, mais là, elle dépassait les bornes. Et le Présidente se faisait presque directement insultée, ce qui ne serait pas laissé de côté, ça, elle pouvait l’affirmer.

« Je me fiche de comment vous parlez à vos parents. Ils ne sont pas américains, à ce que je sache alors vous faites ce que vous voulez. En ce qui concerne les enfants sorciers nés de parents no-majs, nous avons un système qui fonctionne parfaitement bien, que je ne vous dévoilerai pas parce que vous ne méritez pas que je me perdre trop en explications avec vous. Credence Barebone est le premier cas d’obscurial que nous avons, et de toute évidence, vous n’avez rien compris à la formation d’obscurus. Mais encore une fois, je ne vous l’expliquerai pas ici. Si nos lois vous sont absurdes, il ne fallait pas venir en Amérique, personne ne vous a demandé de le faire. Maintenant, vous allez passer une nuit en cellule, cela vous fera peut-être réfléchir avant d’insulter stupidement le gouvernement magique américain et sa présidente. »

Seraphina se leva dignement et alla ouvrir la porte afin de demander à deux aurors de venir chercher Elsa et la mettre en cellule pour la nuit.

« Vous n’avez pas arrangé votre cas mademoiselle, bien au contraire. Et cela n’est pas terminé. »

black pumpkin

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Elsa resta silencieuse, mais elle avait envie d'en savoir plus sur ce système mis en place pour les enfants nés-moldus, cela l'intéressait beaucoup, juste pour savoir si des enfants sont vraiment séparé de leurs parents. Mais la Présidente ne lui laissa pas l'occasion de lui poser de questions, donc au lieu de "rassurer" la jeune femme sur l'avenir des gens qui étaient comme elle, cela ne fit qu’inquiétait d'avantage, et donc l'envie de creuser encore plus. Et ce n'était surement pas une nuit en cellule qui allait changer cela. Au contraire, plus on voulait empêcher la jeune femme de découvrir la vérité, et plus elle mettait un point d'honneur à le faire. Donc tout ce qu'avait gagner cette femme, c'était qu'Elsa allait poser plus de questions, et encore plus de questions, elle s'y prendrait d'une manière différente c'est tout.

Elle se leva à son tour et suivit les deux hommes docilement, avec une mine un peu déconfite, bien que passer une nuit en cellule serait tout sauf agréable, c'était un peu de la comédie pour faire croire à cette femme qu'elle avait réussit à l'atteindre et qu'elle se tiendrait tranquille. Cela étant, il faudrait qu'elle se tienne tranquille, sinon elle risquait plus qu'une nuit en cellule. Bon déjà voyons comme demain se déroule et ce qu'elle peut faire pour découvrir tout le fin mot de cette histoire. Parce que si il est vrai qu'elle n'avait pas été trés fine avec la Présidente du MACUSA, le fait de soulever la poussière, avait eu de drôle de répercussion. On dit bien que seule la vérité dérange. La jeune femme sortit du bureau de la Présidente, sans même la saluer, aprés tout, elle s'en fiche. Elle fut conduite dans une cellule, elle regarda les yeux peu engageant. Elle s'assit en tailleurs sur la banquette et commença à faire le point sur la situation, et sur ce qu'elle devrait faire en sortant de là.

FIN POUR MOI!
C'était un trés chouette RP.
Merci.

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