Messages : 402 Date d'inscription : 25/12/2017 Age du joueur : 38
#Sujet: Re: L'histoire sans fin Dim 28 Jan - 17:13
Ce matin, j'ai ouvert les volets et j'ai découvert que le ciel était devenu jaune. Inquiet, je suis allé dehors, et là j'ai été aspiré par le vent. Je me suis envolé si haut que je me suis retrouvée dans l'espace. C'est alors qu'une petite planète est apparue devant moi. Elle était toute rose et à sa surface flottaient des milliers de canards en plastique.
J'ai posé les pieds sur cette planète étrange, et là, les canards ont pris vie et m'ont attaqué. Je ne m'en serais jamais sorti si je n'avais pas été sauvé in extremis par un groupe de marsupilamis des plus amicaux. Pour les remercier, j'ai décidé de les inviter chez moi. Ce à quoi ils m'ont répondu : "C'est impossible, tu ne partiras jamais d'ici." La panique a commencé à me gagner, et j'ai commencé à pleurer. C'est à ce moment-là que mes larmes sont devenues des gouttes d'alcool que les marsupilamis ont mis en bouteille. Après en avoir bu, ils ont commencé à danser et à bondir comme des fous furieux. J'ai décidé de partir en catimini, mais alors, j'ai senti une main se poser sur mon épaule. Elle appartenait à la grande Marsupilamis, portant une couronne en or. Elle affirma que je ne pourrait partir que si je passais un marché avec eux. Il fallait que je mange tous les champignons de la forêt si je voulais espérer m'en aller. Je me suis donc mis en route, et alors que je m'étais avancé de quelques mètres, je tombai dans un trou de plusieurs mètres de profondeur.
J'ai regardé autour de moi, et il y avait des centaines de champignons, et il étaient entrain de danser la gigue. J'ai voulu en arracher un pour le manger, mais ce dernier disparu et les autres s'arrêtèrent de danser et me regarder ...
Ce matin, j'ai ouvert les volets et j'ai découvert que le ciel était devenu jaune. Inquiet, je suis allé dehors, et là j'ai été aspiré par le vent. Je me suis envolé si haut que je me suis retrouvée dans l'espace. C'est alors qu'une petite planète est apparue devant moi. Elle était toute rose et à sa surface flottaient des milliers de canards en plastique.
J'ai posé les pieds sur cette planète étrange, et là, les canards ont pris vie et m'ont attaqué. Je ne m'en serais jamais sorti si je n'avais pas été sauvé in extremis par un groupe de marsupilamis des plus amicaux. Pour les remercier, j'ai décidé de les inviter chez moi. Ce à quoi ils m'ont répondu : "C'est impossible, tu ne partiras jamais d'ici." La panique a commencé à me gagner, et j'ai commencé à pleurer. C'est à ce moment-là que mes larmes sont devenues des gouttes d'alcool que les marsupilamis ont mis en bouteille. Après en avoir bu, ils ont commencé à danser et à bondir comme des fous furieux. J'ai décidé de partir en catimini, mais alors, j'ai senti une main se poser sur mon épaule. Elle appartenait à la grande Marsupilamis, portant une couronne en or. Elle affirma que je ne pourrait partir que si je passais un marché avec eux. Il fallait que je mange tous les champignons de la forêt si je voulais espérer m'en aller. Je me suis donc mis en route, et alors que je m'étais avancé de quelques mètres, je tombai dans un trou de plusieurs mètres de profondeur.
J'ai regardé autour de moi, et il y avait des centaines de champignons, et il étaient entrain de danser la gigue. J'ai voulu en arracher un pour le manger, mais ce dernier disparut et les autres s'arrêtèrent de danser pour me regarder. Paniqué, j'ai arraché les champignons par poignées, je tentais d'ignorer leurs hurlements de douleur, mais...
Elsa Moore
Messages : 402 Date d'inscription : 25/12/2017 Age du joueur : 38
Ce matin, j'ai ouvert les volets et j'ai découvert que le ciel était devenu jaune. Inquiet, je suis allé dehors, et là j'ai été aspiré par le vent. Je me suis envolé si haut que je me suis retrouvée dans l'espace. C'est alors qu'une petite planète est apparue devant moi. Elle était toute rose et à sa surface flottaient des milliers de canards en plastique.
J'ai posé les pieds sur cette planète étrange, et là, les canards ont pris vie et m'ont attaqué. Je ne m'en serais jamais sorti si je n'avais pas été sauvé in extremis par un groupe de marsupilamis des plus amicaux. Pour les remercier, j'ai décidé de les inviter chez moi. Ce à quoi ils m'ont répondu : "C'est impossible, tu ne partiras jamais d'ici." La panique a commencé à me gagner, et j'ai commencé à pleurer. C'est à ce moment-là que mes larmes sont devenues des gouttes d'alcool que les marsupilamis ont mis en bouteille. Après en avoir bu, ils ont commencé à danser et à bondir comme des fous furieux. J'ai décidé de partir en catimini, mais alors, j'ai senti une main se poser sur mon épaule. Elle appartenait à la grande Marsupilamis, portant une couronne en or. Elle affirma que je ne pourrait partir que si je passais un marché avec eux. Il fallait que je mange tous les champignons de la forêt si je voulais espérer m'en aller. Je me suis donc mis en route, et alors que je m'étais avancé de quelques mètres, je tombai dans un trou de plusieurs mètres de profondeur.
J'ai regardé autour de moi, et il y avait des centaines de champignons, et il étaient entrain de danser la gigue. J'ai voulu en arracher un pour le manger, mais ce dernier disparut et les autres s'arrêtèrent de danser pour me regarder. Paniqué, j'ai arraché les champignons par poignées, je tentais d'ignorer leurs hurlements de douleur, mais leur cris étaient si atroces, que...
Credence Barebone
Messages : 598 Date d'inscription : 26/11/2017 Age du joueur : 35
Ce matin, j'ai ouvert les volets et j'ai découvert que le ciel était devenu jaune. Inquiet, je suis allé dehors, et là j'ai été aspiré par le vent. Je me suis envolé si haut que je me suis retrouvée dans l'espace. C'est alors qu'une petite planète est apparue devant moi. Elle était toute rose et à sa surface flottaient des milliers de canards en plastique.
J'ai posé les pieds sur cette planète étrange, et là, les canards ont pris vie et m'ont attaqué. Je ne m'en serais jamais sorti si je n'avais pas été sauvé in extremis par un groupe de marsupilamis des plus amicaux. Pour les remercier, j'ai décidé de les inviter chez moi. Ce à quoi ils m'ont répondu : "C'est impossible, tu ne partiras jamais d'ici." La panique a commencé à me gagner, et j'ai commencé à pleurer. C'est à ce moment-là que mes larmes sont devenues des gouttes d'alcool que les marsupilamis ont mis en bouteille. Après en avoir bu, ils ont commencé à danser et à bondir comme des fous furieux. J'ai décidé de partir en catimini, mais alors, j'ai senti une main se poser sur mon épaule. Elle appartenait à la grande Marsupilamis, portant une couronne en or. Elle affirma que je ne pourrait partir que si je passais un marché avec eux. Il fallait que je mange tous les champignons de la forêt si je voulais espérer m'en aller. Je me suis donc mis en route, et alors que je m'étais avancé de quelques mètres, je tombai dans un trou de plusieurs mètres de profondeur.
J'ai regardé autour de moi, et il y avait des centaines de champignons, et il étaient entrain de danser la gigue. J'ai voulu en arracher un pour le manger, mais ce dernier disparut et les autres s'arrêtèrent de danser pour me regarder. Paniqué, j'ai arraché les champignons par poignées, je tentais d'ignorer leurs hurlements de douleur, mais leur cris étaient si atroces, que j'ai fini par les relâcher, plaquant mes mains sur mes oreilles. C'est alors que...
Ce matin, j'ai ouvert les volets et j'ai découvert que le ciel était devenu jaune. Inquiet, je suis allé dehors, et là j'ai été aspiré par le vent. Je me suis envolé si haut que je me suis retrouvée dans l'espace. C'est alors qu'une petite planète est apparue devant moi. Elle était toute rose et à sa surface flottaient des milliers de canards en plastique.
J'ai posé les pieds sur cette planète étrange, et là, les canards ont pris vie et m'ont attaqué. Je ne m'en serais jamais sorti si je n'avais pas été sauvé in extremis par un groupe de marsupilamis des plus amicaux. Pour les remercier, j'ai décidé de les inviter chez moi. Ce à quoi ils m'ont répondu : "C'est impossible, tu ne partiras jamais d'ici." La panique a commencé à me gagner, et j'ai commencé à pleurer. C'est à ce moment-là que mes larmes sont devenues des gouttes d'alcool que les marsupilamis ont mis en bouteille. Après en avoir bu, ils ont commencé à danser et à bondir comme des fous furieux. J'ai décidé de partir en catimini, mais alors, j'ai senti une main se poser sur mon épaule. Elle appartenait à la grande Marsupilamis, portant une couronne en or. Elle affirma que je ne pourrait partir que si je passais un marché avec eux. Il fallait que je mange tous les champignons de la forêt si je voulais espérer m'en aller. Je me suis donc mis en route, et alors que je m'étais avancé de quelques mètres, je tombai dans un trou de plusieurs mètres de profondeur.
J'ai regardé autour de moi, et il y avait des centaines de champignons, et il étaient entrain de danser la gigue. J'ai voulu en arracher un pour le manger, mais ce dernier disparut et les autres s'arrêtèrent de danser pour me regarder. Paniqué, j'ai arraché les champignons par poignées, je tentais d'ignorer leurs hurlements de douleur, mais leur cris étaient si atroces, que j'ai fini par les relâcher, plaquant mes mains sur mes oreilles. C'est alors que ces champignons ont bondi sur mon visage. Ma peau devint...
Elsa Moore
Messages : 402 Date d'inscription : 25/12/2017 Age du joueur : 38
Ce matin, j'ai ouvert les volets et j'ai découvert que le ciel était devenu jaune. Inquiet, je suis allé dehors, et là j'ai été aspiré par le vent. Je me suis envolé si haut que je me suis retrouvée dans l'espace. C'est alors qu'une petite planète est apparue devant moi. Elle était toute rose et à sa surface flottaient des milliers de canards en plastique.
J'ai posé les pieds sur cette planète étrange, et là, les canards ont pris vie et m'ont attaqué. Je ne m'en serais jamais sorti si je n'avais pas été sauvé in extremis par un groupe de marsupilamis des plus amicaux. Pour les remercier, j'ai décidé de les inviter chez moi. Ce à quoi ils m'ont répondu : "C'est impossible, tu ne partiras jamais d'ici." La panique a commencé à me gagner, et j'ai commencé à pleurer. C'est à ce moment-là que mes larmes sont devenues des gouttes d'alcool que les marsupilamis ont mis en bouteille. Après en avoir bu, ils ont commencé à danser et à bondir comme des fous furieux. J'ai décidé de partir en catimini, mais alors, j'ai senti une main se poser sur mon épaule. Elle appartenait à la grande Marsupilamis, portant une couronne en or. Elle affirma que je ne pourrait partir que si je passais un marché avec eux. Il fallait que je mange tous les champignons de la forêt si je voulais espérer m'en aller. Je me suis donc mis en route, et alors que je m'étais avancé de quelques mètres, je tombai dans un trou de plusieurs mètres de profondeur.
J'ai regardé autour de moi, et il y avait des centaines de champignons, et il étaient entrain de danser la gigue. J'ai voulu en arracher un pour le manger, mais ce dernier disparut et les autres s'arrêtèrent de danser pour me regarder. Paniqué, j'ai arraché les champignons par poignées, je tentais d'ignorer leurs hurlements de douleur, mais leur cris étaient si atroces, que j'ai fini par les relâcher, plaquant mes mains sur mes oreilles. C'est alors que ces champignons ont bondi sur mon visage. Ma peau devint blanche avec des petits pois rouges. J'ai cru que...
Leta Lestrange
Messages : 644 Date d'inscription : 13/12/2017
#Sujet: Re: L'histoire sans fin Lun 19 Mar - 19:17
matin, j'ai ouvert les volets et j'ai découvert que le ciel était devenu jaune. Inquiet, je suis allé dehors, et là j'ai été aspiré par le vent. Je me suis envolé si haut que je me suis retrouvée dans l'espace. C'est alors qu'une petite planète est apparue devant moi. Elle était toute rose et à sa surface flottaient des milliers de canards en plastique.
J'ai posé les pieds sur cette planète étrange, et là, les canards ont pris vie et m'ont attaqué. Je ne m'en serais jamais sorti si je n'avais pas été sauvé in extremis par un groupe de marsupilamis des plus amicaux. Pour les remercier, j'ai décidé de les inviter chez moi. Ce à quoi ils m'ont répondu : "C'est impossible, tu ne partiras jamais d'ici." La panique a commencé à me gagner, et j'ai commencé à pleurer. C'est à ce moment-là que mes larmes sont devenues des gouttes d'alcool que les marsupilamis ont mis en bouteille. Après en avoir bu, ils ont commencé à danser et à bondir comme des fous furieux. J'ai décidé de partir en catimini, mais alors, j'ai senti une main se poser sur mon épaule. Elle appartenait à la grande Marsupilamis, portant une couronne en or. Elle affirma que je ne pourrait partir que si je passais un marché avec eux. Il fallait que je mange tous les champignons de la forêt si je voulais espérer m'en aller. Je me suis donc mis en route, et alors que je m'étais avancé de quelques mètres, je tombai dans un trou de plusieurs mètres de profondeur.
J'ai regardé autour de moi, et il y avait des centaines de champignons, et il étaient entrain de danser la gigue. J'ai voulu en arracher un pour le manger, mais ce dernier disparut et les autres s'arrêtèrent de danser pour me regarder. Paniqué, j'ai arraché les champignons par poignées, je tentais d'ignorer leurs hurlements de douleur, mais leur cris étaient si atroces, que j'ai fini par les relâcher, plaquant mes mains sur mes oreilles. C'est alors que ces champignons ont bondi sur mon visage. Ma peau devint blanche avec des petits pois rouges. J'ai cru que je n'arriverais plus jamais à respirer. En fait, je me suis endormi.
A mon réveil, ...
Queenie Goldstein
Messages : 1666 Date d'inscription : 25/11/2017
#Sujet: Re: L'histoire sans fin Mer 21 Mar - 12:41
Ce matin, j'ai ouvert les volets et j'ai découvert que le ciel était devenu jaune. Inquiet, je suis allé dehors, et là j'ai été aspiré par le vent. Je me suis envolé si haut que je me suis retrouvée dans l'espace. C'est alors qu'une petite planète est apparue devant moi. Elle était toute rose et à sa surface flottaient des milliers de canards en plastique.
J'ai posé les pieds sur cette planète étrange, et là, les canards ont pris vie et m'ont attaqué. Je ne m'en serais jamais sorti si je n'avais pas été sauvé in extremis par un groupe de marsupilamis des plus amicaux. Pour les remercier, j'ai décidé de les inviter chez moi. Ce à quoi ils m'ont répondu : "C'est impossible, tu ne partiras jamais d'ici." La panique a commencé à me gagner, et j'ai commencé à pleurer. C'est à ce moment-là que mes larmes sont devenues des gouttes d'alcool que les marsupilamis ont mis en bouteille. Après en avoir bu, ils ont commencé à danser et à bondir comme des fous furieux. J'ai décidé de partir en catimini, mais alors, j'ai senti une main se poser sur mon épaule. Elle appartenait à la grande Marsupilamis, portant une couronne en or. Elle affirma que je ne pourrait partir que si je passais un marché avec eux. Il fallait que je mange tous les champignons de la forêt si je voulais espérer m'en aller. Je me suis donc mis en route, et alors que je m'étais avancé de quelques mètres, je tombai dans un trou de plusieurs mètres de profondeur.
J'ai regardé autour de moi, et il y avait des centaines de champignons, et il étaient entrain de danser la gigue. J'ai voulu en arracher un pour le manger, mais ce dernier disparut et les autres s'arrêtèrent de danser pour me regarder. Paniqué, j'ai arraché les champignons par poignées, je tentais d'ignorer leurs hurlements de douleur, mais leur cris étaient si atroces, que j'ai fini par les relâcher, plaquant mes mains sur mes oreilles. C'est alors que ces champignons ont bondi sur mon visage. Ma peau devint blanche avec des petits pois rouges. J'ai cru que je n'arriverais plus jamais à respirer. En fait, je me suis endormi.
A mon réveil, j'ai découvert que tout cela n'était qu'un rêve. J'ai entendu la voix de...
Albus Dumbledore
Messages : 554 Date d'inscription : 26/11/2017 Age du joueur : 35
Ce matin, j'ai ouvert les volets et j'ai découvert que le ciel était devenu jaune. Inquiet, je suis allé dehors, et là j'ai été aspiré par le vent. Je me suis envolé si haut que je me suis retrouvée dans l'espace. C'est alors qu'une petite planète est apparue devant moi. Elle était toute rose et à sa surface flottaient des milliers de canards en plastique.
J'ai posé les pieds sur cette planète étrange, et là, les canards ont pris vie et m'ont attaqué. Je ne m'en serais jamais sorti si je n'avais pas été sauvé in extremis par un groupe de marsupilamis des plus amicaux. Pour les remercier, j'ai décidé de les inviter chez moi. Ce à quoi ils m'ont répondu : "C'est impossible, tu ne partiras jamais d'ici." La panique a commencé à me gagner, et j'ai commencé à pleurer. C'est à ce moment-là que mes larmes sont devenues des gouttes d'alcool que les marsupilamis ont mis en bouteille. Après en avoir bu, ils ont commencé à danser et à bondir comme des fous furieux. J'ai décidé de partir en catimini, mais alors, j'ai senti une main se poser sur mon épaule. Elle appartenait à la grande Marsupilamis, portant une couronne en or. Elle affirma que je ne pourrait partir que si je passais un marché avec eux. Il fallait que je mange tous les champignons de la forêt si je voulais espérer m'en aller. Je me suis donc mis en route, et alors que je m'étais avancé de quelques mètres, je tombai dans un trou de plusieurs mètres de profondeur.
J'ai regardé autour de moi, et il y avait des centaines de champignons, et il étaient entrain de danser la gigue. J'ai voulu en arracher un pour le manger, mais ce dernier disparut et les autres s'arrêtèrent de danser pour me regarder. Paniqué, j'ai arraché les champignons par poignées, je tentais d'ignorer leurs hurlements de douleur, mais leur cris étaient si atroces, que j'ai fini par les relâcher, plaquant mes mains sur mes oreilles. C'est alors que ces champignons ont bondi sur mon visage. Ma peau devint blanche avec des petits pois rouges. J'ai cru que je n'arriverais plus jamais à respirer. En fait, je me suis endormi.
A mon réveil, j'ai découvert que tout cela n'était qu'un rêve. J'ai entendu la voix de ma mère qui m'appelait pour venir prendre mon petit déjeuner. Je pris la peine de me lever, difficilement avant de...
Ce matin, j'ai ouvert les volets et j'ai découvert que le ciel était devenu jaune. Inquiet, je suis allé dehors, et là j'ai été aspiré par le vent. Je me suis envolé si haut que je me suis retrouvée dans l'espace. C'est alors qu'une petite planète est apparue devant moi. Elle était toute rose et à sa surface flottaient des milliers de canards en plastique.
J'ai posé les pieds sur cette planète étrange, et là, les canards ont pris vie et m'ont attaqué. Je ne m'en serais jamais sorti si je n'avais pas été sauvé in extremis par un groupe de marsupilamis des plus amicaux. Pour les remercier, j'ai décidé de les inviter chez moi. Ce à quoi ils m'ont répondu : "C'est impossible, tu ne partiras jamais d'ici." La panique a commencé à me gagner, et j'ai commencé à pleurer. C'est à ce moment-là que mes larmes sont devenues des gouttes d'alcool que les marsupilamis ont mis en bouteille. Après en avoir bu, ils ont commencé à danser et à bondir comme des fous furieux. J'ai décidé de partir en catimini, mais alors, j'ai senti une main se poser sur mon épaule. Elle appartenait à la grande Marsupilamis, portant une couronne en or. Elle affirma que je ne pourrait partir que si je passais un marché avec eux. Il fallait que je mange tous les champignons de la forêt si je voulais espérer m'en aller. Je me suis donc mis en route, et alors que je m'étais avancé de quelques mètres, je tombai dans un trou de plusieurs mètres de profondeur.
J'ai regardé autour de moi, et il y avait des centaines de champignons, et il étaient entrain de danser la gigue. J'ai voulu en arracher un pour le manger, mais ce dernier disparut et les autres s'arrêtèrent de danser pour me regarder. Paniqué, j'ai arraché les champignons par poignées, je tentais d'ignorer leurs hurlements de douleur, mais leur cris étaient si atroces, que j'ai fini par les relâcher, plaquant mes mains sur mes oreilles. C'est alors que ces champignons ont bondi sur mon visage. Ma peau devint blanche avec des petits pois rouges. J'ai cru que je n'arriverais plus jamais à respirer. En fait, je me suis endormi.
A mon réveil, j'ai découvert que tout cela n'était qu'un rêve. J'ai entendu la voix de ma mère qui m'appelait pour venir prendre mon petit déjeuner. Je pris la peine de me lever, difficilement avant de me diriger vers mon armoire afin de m'habiller, en ouvrant l'armoire ma question, quelle ne fut pas ma surprise de découvrir...
Elsa Moore
Messages : 402 Date d'inscription : 25/12/2017 Age du joueur : 38
#Sujet: Re: L'histoire sans fin Jeu 19 Avr - 20:35
Ce matin, j'ai ouvert les volets et j'ai découvert que le ciel était devenu jaune. Inquiet, je suis allé dehors, et là j'ai été aspiré par le vent. Je me suis envolé si haut que je me suis retrouvée dans l'espace. C'est alors qu'une petite planète est apparue devant moi. Elle était toute rose et à sa surface flottaient des milliers de canards en plastique.
J'ai posé les pieds sur cette planète étrange, et là, les canards ont pris vie et m'ont attaqué. Je ne m'en serais jamais sorti si je n'avais pas été sauvé in extremis par un groupe de marsupilamis des plus amicaux. Pour les remercier, j'ai décidé de les inviter chez moi. Ce à quoi ils m'ont répondu : "C'est impossible, tu ne partiras jamais d'ici." La panique a commencé à me gagner, et j'ai commencé à pleurer. C'est à ce moment-là que mes larmes sont devenues des gouttes d'alcool que les marsupilamis ont mis en bouteille. Après en avoir bu, ils ont commencé à danser et à bondir comme des fous furieux. J'ai décidé de partir en catimini, mais alors, j'ai senti une main se poser sur mon épaule. Elle appartenait à la grande Marsupilamis, portant une couronne en or. Elle affirma que je ne pourrait partir que si je passais un marché avec eux. Il fallait que je mange tous les champignons de la forêt si je voulais espérer m'en aller. Je me suis donc mis en route, et alors que je m'étais avancé de quelques mètres, je tombai dans un trou de plusieurs mètres de profondeur.
J'ai regardé autour de moi, et il y avait des centaines de champignons, et il étaient entrain de danser la gigue. J'ai voulu en arracher un pour le manger, mais ce dernier disparut et les autres s'arrêtèrent de danser pour me regarder. Paniqué, j'ai arraché les champignons par poignées, je tentais d'ignorer leurs hurlements de douleur, mais leur cris étaient si atroces, que j'ai fini par les relâcher, plaquant mes mains sur mes oreilles. C'est alors que ces champignons ont bondi sur mon visage. Ma peau devint blanche avec des petits pois rouges. J'ai cru que je n'arriverais plus jamais à respirer. En fait, je me suis endormi.
A mon réveil, j'ai découvert que tout cela n'était qu'un rêve. J'ai entendu la voix de ma mère qui m'appelait pour venir prendre mon petit déjeuner. Je pris la peine de me lever, difficilement avant de me diriger vers mon armoire afin de m'habiller, en ouvrant l'armoire ma question, quelle ne fut pas ma surprise de découvrir un costume de champignon rouge avec des pois blancs, je poussa un petit cri et ...
Theseus Scamander
Messages : 1098 Date d'inscription : 29/11/2017
#Sujet: Re: L'histoire sans fin Dim 22 Avr - 14:24
Ce matin, j'ai ouvert les volets et j'ai découvert que le ciel était devenu jaune. Inquiet, je suis allé dehors, et là j'ai été aspiré par le vent. Je me suis envolé si haut que je me suis retrouvée dans l'espace. C'est alors qu'une petite planète est apparue devant moi. Elle était toute rose et à sa surface flottaient des milliers de canards en plastique.
J'ai posé les pieds sur cette planète étrange, et là, les canards ont pris vie et m'ont attaqué. Je ne m'en serais jamais sorti si je n'avais pas été sauvé in extremis par un groupe de marsupilamis des plus amicaux. Pour les remercier, j'ai décidé de les inviter chez moi. Ce à quoi ils m'ont répondu : "C'est impossible, tu ne partiras jamais d'ici." La panique a commencé à me gagner, et j'ai commencé à pleurer. C'est à ce moment-là que mes larmes sont devenues des gouttes d'alcool que les marsupilamis ont mis en bouteille. Après en avoir bu, ils ont commencé à danser et à bondir comme des fous furieux. J'ai décidé de partir en catimini, mais alors, j'ai senti une main se poser sur mon épaule. Elle appartenait à la grande Marsupilamis, portant une couronne en or. Elle affirma que je ne pourrait partir que si je passais un marché avec eux. Il fallait que je mange tous les champignons de la forêt si je voulais espérer m'en aller. Je me suis donc mis en route, et alors que je m'étais avancé de quelques mètres, je tombai dans un trou de plusieurs mètres de profondeur.
J'ai regardé autour de moi, et il y avait des centaines de champignons, et il étaient entrain de danser la gigue. J'ai voulu en arracher un pour le manger, mais ce dernier disparut et les autres s'arrêtèrent de danser pour me regarder. Paniqué, j'ai arraché les champignons par poignées, je tentais d'ignorer leurs hurlements de douleur, mais leur cris étaient si atroces, que j'ai fini par les relâcher, plaquant mes mains sur mes oreilles. C'est alors que ces champignons ont bondi sur mon visage. Ma peau devint blanche avec des petits pois rouges. J'ai cru que je n'arriverais plus jamais à respirer. En fait, je me suis endormi.
A mon réveil, j'ai découvert que tout cela n'était qu'un rêve. J'ai entendu la voix de ma mère qui m'appelait pour venir prendre mon petit déjeuner. Je pris la peine de me lever, difficilement avant de me diriger vers mon armoire afin de m'habiller, en ouvrant l'armoire en question, quelle ne fut pas ma surprise de découvrir un costume de champignon rouge avec des pois blancs, je poussai un petit cri et refermai subitement la porte. Mais celle-ci se rouvrit et le costume...
Ce matin, j'ai ouvert les volets et j'ai découvert que le ciel était devenu jaune. Inquiet, je suis allé dehors, et là j'ai été aspiré par le vent. Je me suis envolé si haut que je me suis retrouvée dans l'espace. C'est alors qu'une petite planète est apparue devant moi. Elle était toute rose et à sa surface flottaient des milliers de canards en plastique.
J'ai posé les pieds sur cette planète étrange, et là, les canards ont pris vie et m'ont attaqué. Je ne m'en serais jamais sorti si je n'avais pas été sauvé in extremis par un groupe de marsupilamis des plus amicaux. Pour les remercier, j'ai décidé de les inviter chez moi. Ce à quoi ils m'ont répondu : "C'est impossible, tu ne partiras jamais d'ici." La panique a commencé à me gagner, et j'ai commencé à pleurer. C'est à ce moment-là que mes larmes sont devenues des gouttes d'alcool que les marsupilamis ont mis en bouteille. Après en avoir bu, ils ont commencé à danser et à bondir comme des fous furieux. J'ai décidé de partir en catimini, mais alors, j'ai senti une main se poser sur mon épaule. Elle appartenait à la grande Marsupilamis, portant une couronne en or. Elle affirma que je ne pourrait partir que si je passais un marché avec eux. Il fallait que je mange tous les champignons de la forêt si je voulais espérer m'en aller. Je me suis donc mis en route, et alors que je m'étais avancé de quelques mètres, je tombai dans un trou de plusieurs mètres de profondeur.
J'ai regardé autour de moi, et il y avait des centaines de champignons, et il étaient entrain de danser la gigue. J'ai voulu en arracher un pour le manger, mais ce dernier disparut et les autres s'arrêtèrent de danser pour me regarder. Paniqué, j'ai arraché les champignons par poignées, je tentais d'ignorer leurs hurlements de douleur, mais leur cris étaient si atroces, que j'ai fini par les relâcher, plaquant mes mains sur mes oreilles. C'est alors que ces champignons ont bondi sur mon visage. Ma peau devint blanche avec des petits pois rouges. J'ai cru que je n'arriverais plus jamais à respirer. En fait, je me suis endormi.
A mon réveil, j'ai découvert que tout cela n'était qu'un rêve. J'ai entendu la voix de ma mère qui m'appelait pour venir prendre mon petit déjeuner. Je pris la peine de me lever, difficilement avant de me diriger vers mon armoire afin de m'habiller, en ouvrant l'armoire en question, quelle ne fut pas ma surprise de découvrir un costume de champignon rouge avec des pois blancs, je poussai un petit cri et refermai subitement la porte. Mais celle-ci se rouvrit et le costume m'enveloppa sans que je puisse faire quoi que ce soit. J'étais devenu...
Elsa Moore
Messages : 402 Date d'inscription : 25/12/2017 Age du joueur : 38
#Sujet: Re: L'histoire sans fin Dim 20 Mai - 12:05
Ce matin, j'ai ouvert les volets et j'ai découvert que le ciel était devenu jaune. Inquiet, je suis allé dehors, et là j'ai été aspiré par le vent. Je me suis envolé si haut que je me suis retrouvée dans l'espace. C'est alors qu'une petite planète est apparue devant moi. Elle était toute rose et à sa surface flottaient des milliers de canards en plastique.
J'ai posé les pieds sur cette planète étrange, et là, les canards ont pris vie et m'ont attaqué. Je ne m'en serais jamais sorti si je n'avais pas été sauvé in extremis par un groupe de marsupilamis des plus amicaux. Pour les remercier, j'ai décidé de les inviter chez moi. Ce à quoi ils m'ont répondu : "C'est impossible, tu ne partiras jamais d'ici." La panique a commencé à me gagner, et j'ai commencé à pleurer. C'est à ce moment-là que mes larmes sont devenues des gouttes d'alcool que les marsupilamis ont mis en bouteille. Après en avoir bu, ils ont commencé à danser et à bondir comme des fous furieux. J'ai décidé de partir en catimini, mais alors, j'ai senti une main se poser sur mon épaule. Elle appartenait à la grande Marsupilamis, portant une couronne en or. Elle affirma que je ne pourrait partir que si je passais un marché avec eux. Il fallait que je mange tous les champignons de la forêt si je voulais espérer m'en aller. Je me suis donc mis en route, et alors que je m'étais avancé de quelques mètres, je tombai dans un trou de plusieurs mètres de profondeur.
J'ai regardé autour de moi, et il y avait des centaines de champignons, et il étaient entrain de danser la gigue. J'ai voulu en arracher un pour le manger, mais ce dernier disparut et les autres s'arrêtèrent de danser pour me regarder. Paniqué, j'ai arraché les champignons par poignées, je tentais d'ignorer leurs hurlements de douleur, mais leur cris étaient si atroces, que j'ai fini par les relâcher, plaquant mes mains sur mes oreilles. C'est alors que ces champignons ont bondi sur mon visage. Ma peau devint blanche avec des petits pois rouges. J'ai cru que je n'arriverais plus jamais à respirer. En fait, je me suis endormi.
A mon réveil, j'ai découvert que tout cela n'était qu'un rêve. J'ai entendu la voix de ma mère qui m'appelait pour venir prendre mon petit déjeuner. Je pris la peine de me lever, difficilement avant de me diriger vers mon armoire afin de m'habiller, en ouvrant l'armoire en question, quelle ne fut pas ma surprise de découvrir un costume de champignon rouge avec des pois blancs, je poussai un petit cri et refermai subitement la porte. Mais celle-ci se rouvrit et le costume m'enveloppa sans que je puisse faire quoi que ce soit. J'étais devenu un champignon rouge à pois blancs, qu'est-ce que je vais devenir? Comment ...
Leta Lestrange
Messages : 644 Date d'inscription : 13/12/2017
#Sujet: Re: L'histoire sans fin Ven 25 Mai - 11:30
Ce matin, j'ai ouvert les volets et j'ai découvert que le ciel était devenu jaune. Inquiet, je suis allé dehors, et là j'ai été aspiré par le vent. Je me suis envolé si haut que je me suis retrouvée dans l'espace. C'est alors qu'une petite planète est apparue devant moi. Elle était toute rose et à sa surface flottaient des milliers de canards en plastique.
J'ai posé les pieds sur cette planète étrange, et là, les canards ont pris vie et m'ont attaqué. Je ne m'en serais jamais sorti si je n'avais pas été sauvé in extremis par un groupe de marsupilamis des plus amicaux. Pour les remercier, j'ai décidé de les inviter chez moi. Ce à quoi ils m'ont répondu : "C'est impossible, tu ne partiras jamais d'ici." La panique a commencé à me gagner, et j'ai commencé à pleurer. C'est à ce moment-là que mes larmes sont devenues des gouttes d'alcool que les marsupilamis ont mis en bouteille. Après en avoir bu, ils ont commencé à danser et à bondir comme des fous furieux. J'ai décidé de partir en catimini, mais alors, j'ai senti une main se poser sur mon épaule. Elle appartenait à la grande Marsupilamis, portant une couronne en or. Elle affirma que je ne pourrait partir que si je passais un marché avec eux. Il fallait que je mange tous les champignons de la forêt si je voulais espérer m'en aller. Je me suis donc mis en route, et alors que je m'étais avancé de quelques mètres, je tombai dans un trou de plusieurs mètres de profondeur.
J'ai regardé autour de moi, et il y avait des centaines de champignons, et il étaient entrain de danser la gigue. J'ai voulu en arracher un pour le manger, mais ce dernier disparut et les autres s'arrêtèrent de danser pour me regarder. Paniqué, j'ai arraché les champignons par poignées, je tentais d'ignorer leurs hurlements de douleur, mais leur cris étaient si atroces, que j'ai fini par les relâcher, plaquant mes mains sur mes oreilles. C'est alors que ces champignons ont bondi sur mon visage. Ma peau devint blanche avec des petits pois rouges. J'ai cru que je n'arriverais plus jamais à respirer. En fait, je me suis endormi.
A mon réveil, j'ai découvert que tout cela n'était qu'un rêve. J'ai entendu la voix de ma mère qui m'appelait pour venir prendre mon petit déjeuner. Je pris la peine de me lever, difficilement avant de me diriger vers mon armoire afin de m'habiller, en ouvrant l'armoire en question, quelle ne fut pas ma surprise de découvrir un costume de champignon rouge avec des pois blancs, je poussai un petit cri et refermai subitement la porte. Mais celle-ci se rouvrit et le costume m'enveloppa sans que je puisse faire quoi que ce soit. J'étais devenu un champignon rouge à pois blancs, qu'est-ce que je vais devenir? Comment faire pour m'en sortir ? Je descendis rejoindre ma mère, en me voyant, elle...
Milla Holloway
Messages : 359 Date d'inscription : 24/05/2018
#Sujet: Re: L'histoire sans fin Sam 26 Mai - 11:59
Ce matin, j'ai ouvert les volets et j'ai découvert que le ciel était devenu jaune. Inquiet, je suis allé dehors, et là j'ai été aspiré par le vent. Je me suis envolé si haut que je me suis retrouvée dans l'espace. C'est alors qu'une petite planète est apparue devant moi. Elle était toute rose et à sa surface flottaient des milliers de canards en plastique.
J'ai posé les pieds sur cette planète étrange, et là, les canards ont pris vie et m'ont attaqué. Je ne m'en serais jamais sorti si je n'avais pas été sauvé in extremis par un groupe de marsupilamis des plus amicaux. Pour les remercier, j'ai décidé de les inviter chez moi. Ce à quoi ils m'ont répondu : "C'est impossible, tu ne partiras jamais d'ici." La panique a commencé à me gagner, et j'ai commencé à pleurer. C'est à ce moment-là que mes larmes sont devenues des gouttes d'alcool que les marsupilamis ont mis en bouteille. Après en avoir bu, ils ont commencé à danser et à bondir comme des fous furieux. J'ai décidé de partir en catimini, mais alors, j'ai senti une main se poser sur mon épaule. Elle appartenait à la grande Marsupilamis, portant une couronne en or. Elle affirma que je ne pourrait partir que si je passais un marché avec eux. Il fallait que je mange tous les champignons de la forêt si je voulais espérer m'en aller. Je me suis donc mis en route, et alors que je m'étais avancé de quelques mètres, je tombai dans un trou de plusieurs mètres de profondeur.
J'ai regardé autour de moi, et il y avait des centaines de champignons, et il étaient entrain de danser la gigue. J'ai voulu en arracher un pour le manger, mais ce dernier disparut et les autres s'arrêtèrent de danser pour me regarder. Paniqué, j'ai arraché les champignons par poignées, je tentais d'ignorer leurs hurlements de douleur, mais leur cris étaient si atroces, que j'ai fini par les relâcher, plaquant mes mains sur mes oreilles. C'est alors que ces champignons ont bondi sur mon visage. Ma peau devint blanche avec des petits pois rouges. J'ai cru que je n'arriverais plus jamais à respirer. En fait, je me suis endormi.
A mon réveil, j'ai découvert que tout cela n'était qu'un rêve. J'ai entendu la voix de ma mère qui m'appelait pour venir prendre mon petit déjeuner. Je pris la peine de me lever, difficilement avant de me diriger vers mon armoire afin de m'habiller, en ouvrant l'armoire en question, quelle ne fut pas ma surprise de découvrir un costume de champignon rouge avec des pois blancs, je poussai un petit cri et refermai subitement la porte. Mais celle-ci se rouvrit et le costume m'enveloppa sans que je puisse faire quoi que ce soit. J'étais devenu un champignon rouge à pois blancs, qu'est-ce que je vais devenir? Comment faire pour m'en sortir ? Je descendis rejoindre ma mère, en me voyant, elle dit : "Miam, je vais pouvoir cuisiner une omelette." Elle a sorti ses ustensiles, et...
Elsa Moore
Messages : 402 Date d'inscription : 25/12/2017 Age du joueur : 38
#Sujet: Re: L'histoire sans fin Dim 17 Juin - 17:31
Ce matin, j'ai ouvert les volets et j'ai découvert que le ciel était devenu jaune. Inquiet, je suis allé dehors, et là j'ai été aspiré par le vent. Je me suis envolé si haut que je me suis retrouvée dans l'espace. C'est alors qu'une petite planète est apparue devant moi. Elle était toute rose et à sa surface flottaient des milliers de canards en plastique.
J'ai posé les pieds sur cette planète étrange, et là, les canards ont pris vie et m'ont attaqué. Je ne m'en serais jamais sorti si je n'avais pas été sauvé in extremis par un groupe de marsupilamis des plus amicaux. Pour les remercier, j'ai décidé de les inviter chez moi. Ce à quoi ils m'ont répondu : "C'est impossible, tu ne partiras jamais d'ici." La panique a commencé à me gagner, et j'ai commencé à pleurer. C'est à ce moment-là que mes larmes sont devenues des gouttes d'alcool que les marsupilamis ont mis en bouteille. Après en avoir bu, ils ont commencé à danser et à bondir comme des fous furieux. J'ai décidé de partir en catimini, mais alors, j'ai senti une main se poser sur mon épaule. Elle appartenait à la grande Marsupilamis, portant une couronne en or. Elle affirma que je ne pourrait partir que si je passais un marché avec eux. Il fallait que je mange tous les champignons de la forêt si je voulais espérer m'en aller. Je me suis donc mis en route, et alors que je m'étais avancé de quelques mètres, je tombai dans un trou de plusieurs mètres de profondeur.
J'ai regardé autour de moi, et il y avait des centaines de champignons, et il étaient entrain de danser la gigue. J'ai voulu en arracher un pour le manger, mais ce dernier disparut et les autres s'arrêtèrent de danser pour me regarder. Paniqué, j'ai arraché les champignons par poignées, je tentais d'ignorer leurs hurlements de douleur, mais leur cris étaient si atroces, que j'ai fini par les relâcher, plaquant mes mains sur mes oreilles. C'est alors que ces champignons ont bondi sur mon visage. Ma peau devint blanche avec des petits pois rouges. J'ai cru que je n'arriverais plus jamais à respirer. En fait, je me suis endormi.
A mon réveil, j'ai découvert que tout cela n'était qu'un rêve. J'ai entendu la voix de ma mère qui m'appelait pour venir prendre mon petit déjeuner. Je pris la peine de me lever, difficilement avant de me diriger vers mon armoire afin de m'habiller, en ouvrant l'armoire en question, quelle ne fut pas ma surprise de découvrir un costume de champignon rouge avec des pois blancs, je poussai un petit cri et refermai subitement la porte. Mais celle-ci se rouvrit et le costume m'enveloppa sans que je puisse faire quoi que ce soit. J'étais devenu un champignon rouge à pois blancs, qu'est-ce que je vais devenir? Comment faire pour m'en sortir ? Je descendis rejoindre ma mère, en me voyant, elle dit : "Miam, je vais pouvoir cuisiner une omelette." Elle a sorti ses ustensiles, et commença à venir vers moi, armé d'un couteau...
Leta Lestrange
Messages : 644 Date d'inscription : 13/12/2017
#Sujet: Re: L'histoire sans fin Mar 19 Juin - 18:14
Ce matin, j'ai ouvert les volets et j'ai découvert que le ciel était devenu jaune. Inquiet, je suis allé dehors, et là j'ai été aspiré par le vent. Je me suis envolé si haut que je me suis retrouvée dans l'espace. C'est alors qu'une petite planète est apparue devant moi. Elle était toute rose et à sa surface flottaient des milliers de canards en plastique.
J'ai posé les pieds sur cette planète étrange, et là, les canards ont pris vie et m'ont attaqué. Je ne m'en serais jamais sorti si je n'avais pas été sauvé in extremis par un groupe de marsupilamis des plus amicaux. Pour les remercier, j'ai décidé de les inviter chez moi. Ce à quoi ils m'ont répondu : "C'est impossible, tu ne partiras jamais d'ici." La panique a commencé à me gagner, et j'ai commencé à pleurer. C'est à ce moment-là que mes larmes sont devenues des gouttes d'alcool que les marsupilamis ont mis en bouteille. Après en avoir bu, ils ont commencé à danser et à bondir comme des fous furieux. J'ai décidé de partir en catimini, mais alors, j'ai senti une main se poser sur mon épaule. Elle appartenait à la grande Marsupilamis, portant une couronne en or. Elle affirma que je ne pourrait partir que si je passais un marché avec eux. Il fallait que je mange tous les champignons de la forêt si je voulais espérer m'en aller. Je me suis donc mis en route, et alors que je m'étais avancé de quelques mètres, je tombai dans un trou de plusieurs mètres de profondeur.
J'ai regardé autour de moi, et il y avait des centaines de champignons, et il étaient entrain de danser la gigue. J'ai voulu en arracher un pour le manger, mais ce dernier disparut et les autres s'arrêtèrent de danser pour me regarder. Paniqué, j'ai arraché les champignons par poignées, je tentais d'ignorer leurs hurlements de douleur, mais leur cris étaient si atroces, que j'ai fini par les relâcher, plaquant mes mains sur mes oreilles. C'est alors que ces champignons ont bondi sur mon visage. Ma peau devint blanche avec des petits pois rouges. J'ai cru que je n'arriverais plus jamais à respirer. En fait, je me suis endormi.
A mon réveil, j'ai découvert que tout cela n'était qu'un rêve. J'ai entendu la voix de ma mère qui m'appelait pour venir prendre mon petit déjeuner. Je pris la peine de me lever, difficilement avant de me diriger vers mon armoire afin de m'habiller, en ouvrant l'armoire en question, quelle ne fut pas ma surprise de découvrir un costume de champignon rouge avec des pois blancs, je poussai un petit cri et refermai subitement la porte. Mais celle-ci se rouvrit et le costume m'enveloppa sans que je puisse faire quoi que ce soit. J'étais devenu un champignon rouge à pois blancs, qu'est-ce que je vais devenir? Comment faire pour m'en sortir ? Je descendis rejoindre ma mère, en me voyant, elle dit : "Miam, je vais pouvoir cuisiner une omelette." Elle a sorti ses ustensiles, et commença à venir vers moi, armé d'un couteau. Je lui ai supplié d'arrêter, mais...
Queenie Goldstein
Messages : 1666 Date d'inscription : 25/11/2017
#Sujet: Re: L'histoire sans fin Mar 19 Juin - 18:59
Ce matin, j'ai ouvert les volets et j'ai découvert que le ciel était devenu jaune. Inquiet, je suis allé dehors, et là j'ai été aspiré par le vent. Je me suis envolé si haut que je me suis retrouvée dans l'espace. C'est alors qu'une petite planète est apparue devant moi. Elle était toute rose et à sa surface flottaient des milliers de canards en plastique.
J'ai posé les pieds sur cette planète étrange, et là, les canards ont pris vie et m'ont attaqué. Je ne m'en serais jamais sorti si je n'avais pas été sauvé in extremis par un groupe de marsupilamis des plus amicaux. Pour les remercier, j'ai décidé de les inviter chez moi. Ce à quoi ils m'ont répondu : "C'est impossible, tu ne partiras jamais d'ici." La panique a commencé à me gagner, et j'ai commencé à pleurer. C'est à ce moment-là que mes larmes sont devenues des gouttes d'alcool que les marsupilamis ont mis en bouteille. Après en avoir bu, ils ont commencé à danser et à bondir comme des fous furieux. J'ai décidé de partir en catimini, mais alors, j'ai senti une main se poser sur mon épaule. Elle appartenait à la grande Marsupilamis, portant une couronne en or. Elle affirma que je ne pourrait partir que si je passais un marché avec eux. Il fallait que je mange tous les champignons de la forêt si je voulais espérer m'en aller. Je me suis donc mis en route, et alors que je m'étais avancé de quelques mètres, je tombai dans un trou de plusieurs mètres de profondeur.
J'ai regardé autour de moi, et il y avait des centaines de champignons, et il étaient entrain de danser la gigue. J'ai voulu en arracher un pour le manger, mais ce dernier disparut et les autres s'arrêtèrent de danser pour me regarder. Paniqué, j'ai arraché les champignons par poignées, je tentais d'ignorer leurs hurlements de douleur, mais leur cris étaient si atroces, que j'ai fini par les relâcher, plaquant mes mains sur mes oreilles. C'est alors que ces champignons ont bondi sur mon visage. Ma peau devint blanche avec des petits pois rouges. J'ai cru que je n'arriverais plus jamais à respirer. En fait, je me suis endormi.
A mon réveil, j'ai découvert que tout cela n'était qu'un rêve. J'ai entendu la voix de ma mère qui m'appelait pour venir prendre mon petit déjeuner. Je pris la peine de me lever, difficilement avant de me diriger vers mon armoire afin de m'habiller, en ouvrant l'armoire en question, quelle ne fut pas ma surprise de découvrir un costume de champignon rouge avec des pois blancs, je poussai un petit cri et refermai subitement la porte. Mais celle-ci se rouvrit et le costume m'enveloppa sans que je puisse faire quoi que ce soit. J'étais devenu un champignon rouge à pois blancs, qu'est-ce que je vais devenir? Comment faire pour m'en sortir ? Je descendis rejoindre ma mère, en me voyant, elle dit : "Miam, je vais pouvoir cuisiner une omelette." Elle a sorti ses ustensiles, et commença à venir vers moi, armé d'un couteau. Je lui ai supplié d'arrêter, mais elle m'a planté le couteau en plein coeur avant d'ajouter :
Porpentina Goldstein
Messages : 334 Date d'inscription : 12/08/2018 Age du joueur : 26
Ce matin, j'ai ouvert les volets et j'ai découvert que le ciel était devenu jaune. Inquiet, je suis allé dehors, et là j'ai été aspiré par le vent. Je me suis envolé si haut que je me suis retrouvée dans l'espace. C'est alors qu'une petite planète est apparue devant moi. Elle était toute rose et à sa surface flottaient des milliers de canards en plastique.
J'ai posé les pieds sur cette planète étrange, et là, les canards ont pris vie et m'ont attaqué. Je ne m'en serais jamais sorti si je n'avais pas été sauvé in extremis par un groupe de marsupilamis des plus amicaux. Pour les remercier, j'ai décidé de les inviter chez moi. Ce à quoi ils m'ont répondu : "C'est impossible, tu ne partiras jamais d'ici." La panique a commencé à me gagner, et j'ai commencé à pleurer. C'est à ce moment-là que mes larmes sont devenues des gouttes d'alcool que les marsupilamis ont mis en bouteille. Après en avoir bu, ils ont commencé à danser et à bondir comme des fous furieux. J'ai décidé de partir en catimini, mais alors, j'ai senti une main se poser sur mon épaule. Elle appartenait à la grande Marsupilamis, portant une couronne en or. Elle affirma que je ne pourrait partir que si je passais un marché avec eux. Il fallait que je mange tous les champignons de la forêt si je voulais espérer m'en aller. Je me suis donc mis en route, et alors que je m'étais avancé de quelques mètres, je tombai dans un trou de plusieurs mètres de profondeur.
J'ai regardé autour de moi, et il y avait des centaines de champignons, et il étaient entrain de danser la gigue. J'ai voulu en arracher un pour le manger, mais ce dernier disparut et les autres s'arrêtèrent de danser pour me regarder. Paniqué, j'ai arraché les champignons par poignées, je tentais d'ignorer leurs hurlements de douleur, mais leur cris étaient si atroces, que j'ai fini par les relâcher, plaquant mes mains sur mes oreilles. C'est alors que ces champignons ont bondi sur mon visage. Ma peau devint blanche avec des petits pois rouges. J'ai cru que je n'arriverais plus jamais à respirer. En fait, je me suis endormi.
A mon réveil, j'ai découvert que tout cela n'était qu'un rêve. J'ai entendu la voix de ma mère qui m'appelait pour venir prendre mon petit déjeuner. Je pris la peine de me lever, difficilement avant de me diriger vers mon armoire afin de m'habiller, en ouvrant l'armoire en question, quelle ne fut pas ma surprise de découvrir un costume de champignon rouge avec des pois blancs, je poussai un petit cri et refermai subitement la porte. Mais celle-ci se rouvrit et le costume m'enveloppa sans que je puisse faire quoi que ce soit. J'étais devenu un champignon rouge à pois blancs, qu'est-ce que je vais devenir? Comment faire pour m'en sortir ? Je descendis rejoindre ma mère, en me voyant, elle dit : "Miam, je vais pouvoir cuisiner une omelette." Elle a sorti ses ustensiles, et commença à venir vers moi, armé d'un couteau. Je lui ai supplié d'arrêter, mais elle m'a planté le couteau en plein coeur avant d'ajouter : "Il faut faire vite pour que le champignon reste bien frais et ne devienne pas caoutchouteux"
Ce matin, j'ai ouvert les volets et j'ai découvert que le ciel était devenu jaune. Inquiet, je suis allé dehors, et là j'ai été aspiré par le vent. Je me suis envolé si haut que je me suis retrouvée dans l'espace. C'est alors qu'une petite planète est apparue devant moi. Elle était toute rose et à sa surface flottaient des milliers de canards en plastique.
J'ai posé les pieds sur cette planète étrange, et là, les canards ont pris vie et m'ont attaqué. Je ne m'en serais jamais sorti si je n'avais pas été sauvé in extremis par un groupe de marsupilamis des plus amicaux. Pour les remercier, j'ai décidé de les inviter chez moi. Ce à quoi ils m'ont répondu : "C'est impossible, tu ne partiras jamais d'ici." La panique a commencé à me gagner, et j'ai commencé à pleurer. C'est à ce moment-là que mes larmes sont devenues des gouttes d'alcool que les marsupilamis ont mis en bouteille. Après en avoir bu, ils ont commencé à danser et à bondir comme des fous furieux. J'ai décidé de partir en catimini, mais alors, j'ai senti une main se poser sur mon épaule. Elle appartenait à la grande Marsupilamis, portant une couronne en or. Elle affirma que je ne pourrait partir que si je passais un marché avec eux. Il fallait que je mange tous les champignons de la forêt si je voulais espérer m'en aller. Je me suis donc mis en route, et alors que je m'étais avancé de quelques mètres, je tombai dans un trou de plusieurs mètres de profondeur.
J'ai regardé autour de moi, et il y avait des centaines de champignons, et il étaient entrain de danser la gigue. J'ai voulu en arracher un pour le manger, mais ce dernier disparut et les autres s'arrêtèrent de danser pour me regarder. Paniqué, j'ai arraché les champignons par poignées, je tentais d'ignorer leurs hurlements de douleur, mais leur cris étaient si atroces, que j'ai fini par les relâcher, plaquant mes mains sur mes oreilles. C'est alors que ces champignons ont bondi sur mon visage. Ma peau devint blanche avec des petits pois rouges. J'ai cru que je n'arriverais plus jamais à respirer. En fait, je me suis endormi.
A mon réveil, j'ai découvert que tout cela n'était qu'un rêve. J'ai entendu la voix de ma mère qui m'appelait pour venir prendre mon petit déjeuner. Je pris la peine de me lever, difficilement avant de me diriger vers mon armoire afin de m'habiller, en ouvrant l'armoire en question, quelle ne fut pas ma surprise de découvrir un costume de champignon rouge avec des pois blancs, je poussai un petit cri et refermai subitement la porte. Mais celle-ci se rouvrit et le costume m'enveloppa sans que je puisse faire quoi que ce soit. J'étais devenu un champignon rouge à pois blancs, qu'est-ce que je vais devenir? Comment faire pour m'en sortir ? Je descendis rejoindre ma mère, en me voyant, elle dit : "Miam, je vais pouvoir cuisiner une omelette." Elle a sorti ses ustensiles, et commença à venir vers moi, armé d'un couteau. Je lui ai supplié d'arrêter, mais elle m'a planté le couteau en plein coeur avant d'ajouter : "Il faut faire vite pour que le champignon reste bien frais et ne devienne pas caoutchouteux." J'ai senti la vie s'échapper de mon corps tandis qu'elle me découpait en petit morceaux. Si quelqu'un pouvait me venir en aide, là, maintenant...
Modesty Barebone
Messages : 151 Date d'inscription : 12/10/2018 Age du joueur : 38
Ce matin, j'ai ouvert les volets et j'ai découvert que le ciel était devenu jaune. Inquiet, je suis allé dehors, et là j'ai été aspiré par le vent. Je me suis envolé si haut que je me suis retrouvée dans l'espace. C'est alors qu'une petite planète est apparue devant moi. Elle était toute rose et à sa surface flottaient des milliers de canards en plastique.
J'ai posé les pieds sur cette planète étrange, et là, les canards ont pris vie et m'ont attaqué. Je ne m'en serais jamais sorti si je n'avais pas été sauvé in extremis par un groupe de marsupilamis des plus amicaux. Pour les remercier, j'ai décidé de les inviter chez moi. Ce à quoi ils m'ont répondu : "C'est impossible, tu ne partiras jamais d'ici." La panique a commencé à me gagner, et j'ai commencé à pleurer. C'est à ce moment-là que mes larmes sont devenues des gouttes d'alcool que les marsupilamis ont mis en bouteille. Après en avoir bu, ils ont commencé à danser et à bondir comme des fous furieux. J'ai décidé de partir en catimini, mais alors, j'ai senti une main se poser sur mon épaule. Elle appartenait à la grande Marsupilamis, portant une couronne en or. Elle affirma que je ne pourrait partir que si je passais un marché avec eux. Il fallait que je mange tous les champignons de la forêt si je voulais espérer m'en aller. Je me suis donc mis en route, et alors que je m'étais avancé de quelques mètres, je tombai dans un trou de plusieurs mètres de profondeur.
J'ai regardé autour de moi, et il y avait des centaines de champignons, et il étaient entrain de danser la gigue. J'ai voulu en arracher un pour le manger, mais ce dernier disparut et les autres s'arrêtèrent de danser pour me regarder. Paniqué, j'ai arraché les champignons par poignées, je tentais d'ignorer leurs hurlements de douleur, mais leur cris étaient si atroces, que j'ai fini par les relâcher, plaquant mes mains sur mes oreilles. C'est alors que ces champignons ont bondi sur mon visage. Ma peau devint blanche avec des petits pois rouges. J'ai cru que je n'arriverais plus jamais à respirer. En fait, je me suis endormi.
A mon réveil, j'ai découvert que tout cela n'était qu'un rêve. J'ai entendu la voix de ma mère qui m'appelait pour venir prendre mon petit déjeuner. Je pris la peine de me lever, difficilement avant de me diriger vers mon armoire afin de m'habiller, en ouvrant l'armoire en question, quelle ne fut pas ma surprise de découvrir un costume de champignon rouge avec des pois blancs, je poussai un petit cri et refermai subitement la porte. Mais celle-ci se rouvrit et le costume m'enveloppa sans que je puisse faire quoi que ce soit. J'étais devenu un champignon rouge à pois blancs, qu'est-ce que je vais devenir? Comment faire pour m'en sortir ? Je descendis rejoindre ma mère, en me voyant, elle dit : "Miam, je vais pouvoir cuisiner une omelette." Elle a sorti ses ustensiles, et commença à venir vers moi, armé d'un couteau. Je lui ai supplié d'arrêter, mais elle m'a planté le couteau en plein cœur avant d'ajouter : "Il faut faire vite pour que le champignon reste bien frais et ne devienne pas caoutchouteux." J'ai senti la vie s'échapper de mon corps tandis qu'elle me découpait en petit morceaux. Si quelqu'un pouvait me venir en aide, là, maintenant... Soudain, la porte de la cuisine s'ouvrit dans un fracas et ...
Gellert Grindelwald
Messages : 433 Date d'inscription : 25/11/2017
#Sujet: Re: L'histoire sans fin Sam 23 Fév - 13:32
Ce matin, j'ai ouvert les volets et j'ai découvert que le ciel était devenu jaune. Inquiet, je suis allé dehors, et là j'ai été aspiré par le vent. Je me suis envolé si haut que je me suis retrouvée dans l'espace. C'est alors qu'une petite planète est apparue devant moi. Elle était toute rose et à sa surface flottaient des milliers de canards en plastique.
J'ai posé les pieds sur cette planète étrange, et là, les canards ont pris vie et m'ont attaqué. Je ne m'en serais jamais sorti si je n'avais pas été sauvé in extremis par un groupe de marsupilamis des plus amicaux. Pour les remercier, j'ai décidé de les inviter chez moi. Ce à quoi ils m'ont répondu : "C'est impossible, tu ne partiras jamais d'ici." La panique a commencé à me gagner, et j'ai commencé à pleurer. C'est à ce moment-là que mes larmes sont devenues des gouttes d'alcool que les marsupilamis ont mis en bouteille. Après en avoir bu, ils ont commencé à danser et à bondir comme des fous furieux. J'ai décidé de partir en catimini, mais alors, j'ai senti une main se poser sur mon épaule. Elle appartenait à la grande Marsupilamis, portant une couronne en or. Elle affirma que je ne pourrait partir que si je passais un marché avec eux. Il fallait que je mange tous les champignons de la forêt si je voulais espérer m'en aller. Je me suis donc mis en route, et alors que je m'étais avancé de quelques mètres, je tombai dans un trou de plusieurs mètres de profondeur.
J'ai regardé autour de moi, et il y avait des centaines de champignons, et il étaient entrain de danser la gigue. J'ai voulu en arracher un pour le manger, mais ce dernier disparut et les autres s'arrêtèrent de danser pour me regarder. Paniqué, j'ai arraché les champignons par poignées, je tentais d'ignorer leurs hurlements de douleur, mais leur cris étaient si atroces, que j'ai fini par les relâcher, plaquant mes mains sur mes oreilles. C'est alors que ces champignons ont bondi sur mon visage. Ma peau devint blanche avec des petits pois rouges. J'ai cru que je n'arriverais plus jamais à respirer. En fait, je me suis endormi.
A mon réveil, j'ai découvert que tout cela n'était qu'un rêve. J'ai entendu la voix de ma mère qui m'appelait pour venir prendre mon petit déjeuner. Je pris la peine de me lever, difficilement avant de me diriger vers mon armoire afin de m'habiller, en ouvrant l'armoire en question, quelle ne fut pas ma surprise de découvrir un costume de champignon rouge avec des pois blancs, je poussai un petit cri et refermai subitement la porte. Mais celle-ci se rouvrit et le costume m'enveloppa sans que je puisse faire quoi que ce soit. J'étais devenu un champignon rouge à pois blancs, qu'est-ce que je vais devenir? Comment faire pour m'en sortir ? Je descendis rejoindre ma mère, en me voyant, elle dit : "Miam, je vais pouvoir cuisiner une omelette." Elle a sorti ses ustensiles, et commença à venir vers moi, armé d'un couteau. Je lui ai supplié d'arrêter, mais elle m'a planté le couteau en plein cœur avant d'ajouter : "Il faut faire vite pour que le champignon reste bien frais et ne devienne pas caoutchouteux." J'ai senti la vie s'échapper de mon corps tandis qu'elle me découpait en petit morceaux. Si quelqu'un pouvait me venir en aide, là, maintenant... Soudain, la porte de la cuisine s'ouvrit dans un fracas et un lapin géant fit son apparition. Il me porta entre ses grosses pattes et...
Modesty Barebone
Messages : 151 Date d'inscription : 12/10/2018 Age du joueur : 38
Ce matin, j'ai ouvert les volets et j'ai découvert que le ciel était devenu jaune. Inquiet, je suis allé dehors, et là j'ai été aspiré par le vent. Je me suis envolé si haut que je me suis retrouvée dans l'espace. C'est alors qu'une petite planète est apparue devant moi. Elle était toute rose et à sa surface flottaient des milliers de canards en plastique.
J'ai posé les pieds sur cette planète étrange, et là, les canards ont pris vie et m'ont attaqué. Je ne m'en serais jamais sorti si je n'avais pas été sauvé in extremis par un groupe de marsupilamis des plus amicaux. Pour les remercier, j'ai décidé de les inviter chez moi. Ce à quoi ils m'ont répondu : "C'est impossible, tu ne partiras jamais d'ici." La panique a commencé à me gagner, et j'ai commencé à pleurer. C'est à ce moment-là que mes larmes sont devenues des gouttes d'alcool que les marsupilamis ont mis en bouteille. Après en avoir bu, ils ont commencé à danser et à bondir comme des fous furieux. J'ai décidé de partir en catimini, mais alors, j'ai senti une main se poser sur mon épaule. Elle appartenait à la grande Marsupilamis, portant une couronne en or. Elle affirma que je ne pourrait partir que si je passais un marché avec eux. Il fallait que je mange tous les champignons de la forêt si je voulais espérer m'en aller. Je me suis donc mis en route, et alors que je m'étais avancé de quelques mètres, je tombai dans un trou de plusieurs mètres de profondeur.
J'ai regardé autour de moi, et il y avait des centaines de champignons, et il étaient entrain de danser la gigue. J'ai voulu en arracher un pour le manger, mais ce dernier disparut et les autres s'arrêtèrent de danser pour me regarder. Paniqué, j'ai arraché les champignons par poignées, je tentais d'ignorer leurs hurlements de douleur, mais leur cris étaient si atroces, que j'ai fini par les relâcher, plaquant mes mains sur mes oreilles. C'est alors que ces champignons ont bondi sur mon visage. Ma peau devint blanche avec des petits pois rouges. J'ai cru que je n'arriverais plus jamais à respirer. En fait, je me suis endormi.
A mon réveil, j'ai découvert que tout cela n'était qu'un rêve. J'ai entendu la voix de ma mère qui m'appelait pour venir prendre mon petit déjeuner. Je pris la peine de me lever, difficilement avant de me diriger vers mon armoire afin de m'habiller, en ouvrant l'armoire en question, quelle ne fut pas ma surprise de découvrir un costume de champignon rouge avec des pois blancs, je poussai un petit cri et refermai subitement la porte. Mais celle-ci se rouvrit et le costume m'enveloppa sans que je puisse faire quoi que ce soit. J'étais devenu un champignon rouge à pois blancs, qu'est-ce que je vais devenir? Comment faire pour m'en sortir ? Je descendis rejoindre ma mère, en me voyant, elle dit : "Miam, je vais pouvoir cuisiner une omelette." Elle a sorti ses ustensiles, et commença à venir vers moi, armé d'un couteau. Je lui ai supplié d'arrêter, mais elle m'a planté le couteau en plein cœur avant d'ajouter : "Il faut faire vite pour que le champignon reste bien frais et ne devienne pas caoutchouteux." J'ai senti la vie s'échapper de mon corps tandis qu'elle me découpait en petit morceaux. Si quelqu'un pouvait me venir en aide, là, maintenant... Soudain, la porte de la cuisine s'ouvrit dans un fracas et un lapin géant fit son apparition. Il me porta entre ses grosses pattes et m'amenait loin de ma maison pour...
Queenie Goldstein
Messages : 1666 Date d'inscription : 25/11/2017
#Sujet: Re: L'histoire sans fin Jeu 18 Avr - 15:29
Ce matin, j'ai ouvert les volets et j'ai découvert que le ciel était devenu jaune. Inquiet, je suis allé dehors, et là j'ai été aspiré par le vent. Je me suis envolé si haut que je me suis retrouvée dans l'espace. C'est alors qu'une petite planète est apparue devant moi. Elle était toute rose et à sa surface flottaient des milliers de canards en plastique.
J'ai posé les pieds sur cette planète étrange, et là, les canards ont pris vie et m'ont attaqué. Je ne m'en serais jamais sorti si je n'avais pas été sauvé in extremis par un groupe de marsupilamis des plus amicaux. Pour les remercier, j'ai décidé de les inviter chez moi. Ce à quoi ils m'ont répondu : "C'est impossible, tu ne partiras jamais d'ici." La panique a commencé à me gagner, et j'ai commencé à pleurer. C'est à ce moment-là que mes larmes sont devenues des gouttes d'alcool que les marsupilamis ont mis en bouteille. Après en avoir bu, ils ont commencé à danser et à bondir comme des fous furieux. J'ai décidé de partir en catimini, mais alors, j'ai senti une main se poser sur mon épaule. Elle appartenait à la grande Marsupilamis, portant une couronne en or. Elle affirma que je ne pourrait partir que si je passais un marché avec eux. Il fallait que je mange tous les champignons de la forêt si je voulais espérer m'en aller. Je me suis donc mis en route, et alors que je m'étais avancé de quelques mètres, je tombai dans un trou de plusieurs mètres de profondeur.
J'ai regardé autour de moi, et il y avait des centaines de champignons, et il étaient entrain de danser la gigue. J'ai voulu en arracher un pour le manger, mais ce dernier disparut et les autres s'arrêtèrent de danser pour me regarder. Paniqué, j'ai arraché les champignons par poignées, je tentais d'ignorer leurs hurlements de douleur, mais leur cris étaient si atroces, que j'ai fini par les relâcher, plaquant mes mains sur mes oreilles. C'est alors que ces champignons ont bondi sur mon visage. Ma peau devint blanche avec des petits pois rouges. J'ai cru que je n'arriverais plus jamais à respirer. En fait, je me suis endormi.
A mon réveil, j'ai découvert que tout cela n'était qu'un rêve. J'ai entendu la voix de ma mère qui m'appelait pour venir prendre mon petit déjeuner. Je pris la peine de me lever, difficilement avant de me diriger vers mon armoire afin de m'habiller, en ouvrant l'armoire en question, quelle ne fut pas ma surprise de découvrir un costume de champignon rouge avec des pois blancs, je poussai un petit cri et refermai subitement la porte. Mais celle-ci se rouvrit et le costume m'enveloppa sans que je puisse faire quoi que ce soit. J'étais devenu un champignon rouge à pois blancs, qu'est-ce que je vais devenir? Comment faire pour m'en sortir ? Je descendis rejoindre ma mère, en me voyant, elle dit : "Miam, je vais pouvoir cuisiner une omelette." Elle a sorti ses ustensiles, et commença à venir vers moi, armé d'un couteau. Je lui ai supplié d'arrêter, mais elle m'a planté le couteau en plein cœur avant d'ajouter : "Il faut faire vite pour que le champignon reste bien frais et ne devienne pas caoutchouteux." J'ai senti la vie s'échapper de mon corps tandis qu'elle me découpait en petit morceaux. Si quelqu'un pouvait me venir en aide, là, maintenant... Soudain, la porte de la cuisine s'ouvrit dans un fracas et un lapin géant fit son apparition. Il me porta entre ses grosses pattes et m'amenait loin de ma maison pour m'inviter à décorer des oeufs de Pâques destinés à...